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De Qui se moque-t-il ce cynique ?
Presque tout a été dit par les collectifs réunis, contre les lois liberticides de Sarkozy. La criminalisation de la pauvreté, la répression sans prévention en amont (suppression des emplois jeunes, crédits insuffisants, voire supprimés aux associations), marginalisation des plus faibles, et enfin la jeunesse désignée comme coupable dans ce qu’elle contient en elle de mouvement, de contestation, qui la rendent si antipathique à tous nos « vieux » bien pensants.
Ce qui me révolte le plus, c’est qu’après nous avoir étiquetés de France d’en bas (Raffarin), Sarkozy parle de l’intelligentsia qui s’oppose à lui, comme de nantis qui ne connaissent rien de la pauvreté. Doit-on se laisser insulter par un homme avide de pouvoir, qui ne vit pas lui non plus au contact des plus pauvres, que je sache ?…
Cet homme qui veut tenter de diviser le peuple en déshumanisant les gens, en les classant par catégories plus, ou moins, ou pas du tout dangereuses… en se moquant de l’angélisme de la gauche.
De qui
se moque-t-il ce cynique ?
Nous sommes en France nombreux, fils ou petits fils d’immigrés,
à avoir connu le racisme, les cités HLM où tu entends
« péter » ton voisin, où le chauffeur routier
qui se lève à cinq heures du matin ne supporte pas la guitare
du gitan en été… où les voyous de quartier servent
aussi d’indicateurs à la police.
J’ai connu les tentatives d’expulsion de familles qui ne pouvaient
pas payer leur loyer, les bruits des meubles jetés par la fenêtre,
les jeunes couchés dans les cages d’escalier, les premiers
morts d’overdose d’héroïne… toute cette expression
de la misère et de la souffrance humaine que les pouvoirs publics,
depuis la création de ces villes ghettos des années 60, laissent
macérer.
Au final, j’ai une question à lui poser à ce monsieur
Sarkozy : Vous connaissez vous des jeunes qui veulent tranquillement regarder
la télé (au lieu de rester « en bas de chez eux »)
avec des parents qui se disputent pour le fric, le chômage qui ne
rentre pas, les allocs en retard, etc.. etc … ?
Vous avez dit intelligentsia ! ..
Monique ZUCCA
Selon que vous serez puissant ou misérable...
Nous
devons refuser et empêcher l’incarcération
de José BOVE et René RIESEL!
La Fontaine
avait raison : d’un côté la répression contre
des dirigeants du mouvement syndical, de l’autre, les privilèges
moyenâgeux des puissants et d’un président de la république
soupçonné de corruption, de tricheries électorales
et autres délits, qui lui, ne rend aucun compte à la justice
de notre pays.
La mobilisation populaire doit s’exprimer et empêcher l’application
de cette condamnation injuste.
Rappel des faits
Janvier 1998
Les militants de la confédération paysanne investissent un
entrepôt de la firme Novartis. Ils mélangent des semences de
maïs transgéniques avec des semences conventionnelles. Cette
action non violente vaut à José Bové et René
Riesel 8 mois de prison avec sursis, alors que Novartis, Monsanto et Cie,
continuent à jouer aux apprentis sorciers en toute impunité.
Juin 1999
Des militants de la Confédération paysanne et des paysans
indiens investissent une serre du CIRAD (Centre International de Recherche
en Agriculture et en Développement) et neutralisent des plants de
riz transgéniques avant qu'ils ne soient replantés en Camargue.
José Bové et René Riesel ont été condamnés
à 6 mois de prison pour cette action non-violente.
Contre la condamnation de José
Bové et René Riesel, nous avons à plusieurs reprises
fait signer des pétitions sur le marché à Aubagne,
recueillant ainsi plus de 500 signatures .
Notre première démarche a été de demander une
rencontre avec le député Bernard Deflesselles et le maire
d’Aubagne Daniel Fontaine pour déposer les listes et pour connaître
et faire connaître leur position.
Le député nous a superbement ignorés à ce jour,
le maire va nous rencontrer.
D’autres initiatives sont en réflexion, plus largement étendues
à la difficulté du syndicalisme aujourd’hui face aux
pressions et à la répression.
Vrais
mensonges à propos de l’aide américaine à
Israël
par Richard H. Curtiss [traduit de l'anglais par Marcel Charbonnier]
Extraits de l’ouvrage "True Lies About U.S. Aid to Israel"
(pp. 43-45, XII - 1997)
Publié dans le bulletin internet « Point d’information
Palestine »
/…/ Au titre de la seule année fiscale 1997, Israël a
reçu des aides de plusieurs budgets fédéraux américains,
pour plus de 525,8 millions de $, en sus des 3 milliards de $ reçus
au titre de l’aide à l’étranger, et qu’il
faut encore ajouter à l’ensemble 2 milliards de $ supplémentaires
sous forme de prêts garantis par le gouvernement américain.
Ainsi, le montant total des aides économiques (subventions + prêts
garantis) américaines à Israël s’est élevé
à 5,525,800,00$, au titre de l’année fiscale 1997.
Le Service de Recherche en matière parlementaire montre clairement
qu’Israël a reçu 62,5 milliards de $ d’aide à
l’étranger pour la période s’étendant de
l’année fiscale 1949 à l’année fiscale
1996. Durant la même période, le total des aides étrangères
américaines à l’ensemble des pays d’Afrique subsaharienne,
d’Amérique Latine et des Caraïbes s’élève
à 62 497 800 000 $ - soit, approximativement le montant accordé
au seul Etat lilliputien d’Israël…
Ceci signifie que, pour chaque $ dépensé par les Etats-Unis
pour un Africain, les Etats-Unis en dépensaient 250,65 pour un Israélien.
Ces comparaisons, déjà choquantes en l’état,
sont loin de refléter l’entière vérité.
Le montant global compilé depuis 1949, s’élève
à de 83 milliards de $ en incluant les subventions et les prêts
garantis
Mais ce n’est pas tout. Israël jouit, là encore, d’un
insigne privilège, celui d’investir l’argent prêté
en bons du Trésor américain. Cela signifie, tout simplement,
que les Etats-Unis, qui doivent emprunter les ronds qu’ils filent
généreusement à Israël, paient des intérêts
sur les prêts qu’ils ont garantis à ce pays par avance,
tandis que, dans le même temps, c’est Israël qui empoche
(par-dessus le marché) les intérêts sur les sommes en
question ! Soit encore un petit milliard de dollars …
Il convient de noter que ce montant n’inclut pas les garanties de
prêts du gouvernement américain à Israël, d’où
Israël a retiré 9,8 milliards de $ jusqu’à ce jour.
Les amis d’Israël ne se fatiguent jamais de répéter
qu’Israël n’a jamais été défaillant
dans ses remboursements de prêts gouvernementaux américains.
Il serait tout aussi exact de dire qu’il n’a jamais été
exigé d’Israël qu’il remboursât un quelconque
prêt du gouvernement américain.
Disons, pour être bref, que l’aide américaine à
Israël - qu’elle soit allouée sous forme de subventions
ou de prêts - ne retrouve jamais le chemin des coffres du Trésor
américain.
Israël bénéficie d’autres privilèges encore.
Tandis que la plupart des pays allocataires de fonds d’aide militaire
américains doivent les utiliser pour acheter des armes, des munitions,
et des stages de formation militaire aux Etats-Unis, Israël dépense
une partie des fonds de cette nature afin de payer des commandes d’armes
passées aux industriels israéliens de l’armement.
Les 84,8 milliards de $ d’aide américaine à Israël
allouée de 1949 à l’AF 1998, en tenant compte des intérêts
acquittés par les Etats-Unis afin d’emprunter cet argent, ont
coûté aux contribuables américains 134,8 milliards de
dollars en dollars constants (c’est-à-dire qu’il faudrait
encore ajouter les effets annuels, cumulatifs et composés, de l’inflation,
ndt).
En d’autre termes, les quelque 14 630 $ perçus par chacun des 5,8 millions de citoyens israéliens du gouvernement américain, à la date du 31 octobre 1997, ont coûté aux contribuables américains de l’ordre de 23 240 $ par Israélien.
Préparation
de « l’Autre Djazaïr » (L’autre Algérie)
L’année 2003 sera en France l’année de l’Algérie
(Djazaïr 2003). Dans le cadre officiel des relations bilatérales,
Algérie France, de très nombreuses manifestations culturelles
se dérouleront à Paris et dans quelques villes de Provinces
dont Marseille. Elles représentent un enjeux politique majeur pour
le gouvernement algérien. Aussi nous proposons d’organiser
à Marseille en 2003 d’autres manifestations donnant à
voir l’autre Algérie, « l’Autre Djazaïr ».
En effet, la révolution Algérienne et la proclamation de son
indépendance en 1962, sa victoire contre la puissance coloniale à
été pour tous les peuples de la Méditerranée,
pour le Maghreb et l’Algérie un espoir sans précédent.
Le rêve était permis, les hommes et les femmes voulaient construire
une société juste, tolérante, sans violence, basée
sur le droit, la justice sociale, l’égalité pour tous,
le travail et l’instruction. Avec les Algériens et les Algériennes
ce sont tous les peuples opprimés de la terre qui ont rêvé
de cette liberté.
Après toutes ces années que reste-il aujourd’hui
de ce formidable élan?
• 40 ans de confiscation de la révolution Algérienne
et de la démocratie par une caste de privilégiés (politiques,
militaires et islamo-conservateurs)
• 10 ans de guerre atroce contre les populations civiles
• Des privatisations que le pouvoir a la malhonnêteté
de présenter aujourd’hui comme étant la seule solution
pour sauver les entreprises publiques.
• Le détournement des richesses du sous-sol du pays (Gaz et
pétrole)
• La misère, Le chômage massif, 30 % de la population
dont 80 % de jeunes de moins de trente ans, l’explosion de la pauvreté,
la crise du logement, les pénuries d’eau
• (Les émeutes de l’eau à bab el oued et dans
l’intérieur du pays) ont entraîné une clochardisation
de la société.
• Un système de santé inégalitaire et sinistré
pour les plus démunis
• La presse sans cesse harcelée et une remise en cause permanente
de sa liberté
• Un code de la famille qui consacre l’inégalité
des droits entre les hommes et les femmes ……
Devant ce terrible bilan, nous vous proposons pour cette année 2003,
d’élaborer et de préparer ensemble « L’autre
Djazaîr » sous des formes à définir ensemble.
Hourya
Guerre
en Côte d'Irak
La cote
d’Ivoire, c’est le cacao, le café et Bouygues. Alors
la France considère y être chez elle. Elle doit protéger
ses ressortissants en envoyant des troupes pour mettre de l’ORDRE;
Son ORDRE à elle bien entendu.
En fait, comme l’a dit Rémi « Nous sommes en guerre en
Cote d’Ivoire. »
Bush s’occupe aujourd’hui de l’Irak et donne carte blanche
à Chirac. L’ONU n’a pas à se mêler de la
Cote d’Ivoire.
Chirac va finir par s’incliner devant Bush pour l’Irak, un prêté
pour un rendu...
C’est cela l’ordre international en 2003.
Et Louis conclut : "En fait, c’est la guerre en Cote d’Irak
! "
Christine Vandrame
Le contre
sens actuel peut surprendre et nous faire ressentir une certaine amertume
mêlée d´anxiété.
Après la dynamique des luttes populaires qui ont abouti à
une amélioration notable des conditions de vie des travailleurs (les
acquis de 1936 et1945 ) nous assistons à une régression prolongée
par la remise en cause des droits sociaux les plus fondamentaux. Une masse
incompressible de chômeurs, des conditions de travail qui se détériorent,
la désorientation d´une partie du peuple qui va jusqu'à
voter FN ou qui s´englue dans des crédits pour malgré
tout consommer, l´abstention massive aux diverses élections
montrent que nous sommes dans une crise profonde.
Y-a-t-il
un espoir ?
Toute mutation profonde d´une Société a toujours été
précédée par une avancée scientifique et philosophique
majeure. Souvenons-nous qu´avant 1789 les scientifiques et les philosophes
ont fait progresser notablement les connaissances et la réflexion
sur le sens des choses. La Renaissance nous sortait de l´obscurantisme
du moyen âge avec Descartes, Les Encyclopédistes, Rousseau
etc. Ce renouveau s´est concrétisé par 1789.
Qu´en
est il aujourd´hui ?
Les connaissances ont continué à progresser. Les sciences
physiques ont considérablement modifié notre façon
de voir la nature : la physique quantique, la relativité d´Einstein,
la connaissance du vivant, la génétique, l´astronomie,
la conscience de la finitude de notre terre etc. .
Malheureusement une nouvelle philosophie n´a pas encore émergée.
Ce ne sont pas les élucubrations d´un BHL qui soutient Sarkozy
qui seront les prémices d´une nouveauté philosophique.
On est en attente d´une philosophie qui s´appuie sur les avancées
scientifiques et qui réponde aux angoisses des peuples du monde.
Mais si rien n´émerge de fondamentalement nouveau même
avec les courants philosophiques comme le structuralisme ou l´existentialisme...…
n´y aurait-il pas une invariance dans la philosophie, une trame de
base sur laquelle tout s´articule, un concept qui a évolué
avec les Hommes, et ce concept n´est- il pas la dialectique.
LA
DIALECTIQUE est universelle et a évolué dans le temps et dans
l´espace.
Elle a débuté en Chine avec la dualité du Yin et du
Yang dans le Taoïsme il y a plus de 3000 ans. Les nomades de l´Asie
Centrale l´ont fait connaître en Grèce. Le premier dialecticien
européen était Héraclite il y a 2500 ans qui analysait
la nature et la société à l´aide de ce concept.
Dans une période plus récente apparaît Hegel et sa dialectique
idéaliste. Ensuite Marx à partir du matérialisme historique
la met sur ses pieds en mettant en avant le matérialisme dialectique.
Mao l´analyse et la décortique dans `de la contradiction `.
Actuellement
en guise de philosophie certain comme René Thom ont développé
la théorie de la catastrophe, d´autre la théorie du
chaos avec son effet papillon et donnent une explication qualitative des
événements. En y regardant de près ce ne sont que de
nouveaux habits, de nouveaux aspects de la dialectique.
Comment peut-on comprendre la dialectique qui apparaît comme le moteur
des transformations, de l´évolution des phénomènes.
La dialectique n´est féconde que lorsqu´il y a un phénomène
en développement. Ce phénomène est la manifestation,
l´expression d´énergies antagonistes mais liées
entre elles. Par exemple comme le capital est lié au prolétariat
dans la production de biens.
Quel est l´intérêt de cette philosophie pour le peuple
?
Elle montre que l´accumulation des énergies populaires peut
créer un renversement de situation du prolétariat de la position
de dominé à la position de dominant.
La société bourgeoise de production peut évoluer dans
un autre sens, non plus pour produire de l´argent pour les bourgeois,
mais des biens pour améliorer la qualité de vie du peuple.
En étant dominant le prolétariat développera une qualité
de relation entre les Hommes afin que la solidarité devienne le lien
principal entre eux.
Serge Allauch
SPID
: L'engagement audiovisuel aux côtés de celles et ceux qui
luttent
L'association de Soutien
à la Production indépendante de documentaires (SPID) est une
association loi 1901 créée en 1998, installée depuis
deux ans à Aubagne. Son objet social consiste à produire et
diffuser de manière alternative des documents audiovisuels engagés
aux côtés de celles et ceux qui luttent.
Les films de SPID portent sur :
• le mouvement social (rassemblement de Millau de
juin 2000 avec la Confédération paysanne, contre sommet européen
de Nice, forum social mondial de Porto Alegre),
• les luttes locales (film sur le syndicat SUD étudiant),
• les luttes plus internationales (répercutions
à Aubagne/Marseille du conflit israélo/palestinien, la lutte
des indiens du Chiapas au Mexique, les marins en lutte à bord des
pavillons de complaisance),
• ou sur des films pédagogiques (film de la
première université d'été d'attac, …).
Les
activités de SPID se déclinent autour de plusieurs supports
:
• la vidéo,
• le multimédia ( agence multimédia
d'information citoyenne : www.altermondialisation.org),
• et l'édition phonographique (production
de CD digital audio de conférences (droits de l'homme en Tunisie,
les lois liberticides en France, les fonds de pension, les violences policières,
la Palestine, les médias, les prisons,…), de témoignages
(récits d'internationaux en Palestine), ou d'entretiens (Pierre Bourdieu).
SPID
vient de créer une nouvelle extension de son activité internet
avec www.bibliotheque-sonore.org, un site complémentaire de l'AMIC
(agence multimédia d'information citoyenne), base de donnée
sonore intellectuelle, humaniste et militante, en ligne. D'ici fin janvier,
toute la production phonographique de SPID sera accessible par ce site,
en téléchargement libre, gratuit et sans publicité.
L es militant-e-s pourront continuer à nous acheter nos CD
enregistrés au prix de deux CD vierges (3 euros), ou télécharger
leur contenu gratuitement sous forme de fichiers informatiques sonores (encodage
MP3). L'encodage MP3 de nos CD permet de faire vivre et circuler librement
ce patrimoine radiophonique que nous avons contribué à constituer.
La qualité sonore de ces encodages "grand public" MP3 permet
aux radios locales associatives francophones de piocher à leur guise
dans notre base de donnée pour diffuser gratuitement nos enregistrements
sur leurs ondes. Notre présence sur internet n'est donc pas destinée
à constituer un cyber ghetto branché réservé
aux seuls internautes, mais est conçue comme une passerelle avec
le monde réel des médias traditionnels grand public (radio
et Cd audio).
SPID ne recevant à
ce jour aucune subvention publique ou privée, le financement de ses
activités repose sur le bénévolat de ses militants,
les revenus des ventes de ses productions, les cotisations et les dons.
Après avoir optimisé nos coûts, la deuxième tranche
de notre programme de présence sur internet entraîne une dépense
supplémentaire pour l'association de 200 euros par an, qui nous reste
à financer. Pour nous soutenir, nos sympathisants peuvent donc nous
aider financièrement, acquérir nos productions et les diffuser,
les faire écouter autour d'eux. C'est le militantisme de nos sympathisants
qui permettra de donner une réelle portée et donc un sens
à notre travail. Notre travail n'est pas fait POUR les gens, mais
AVEC eux. Exemple parmi d'autres : l'association SURVIE 13, rencontrée
lors d'une réunion de Ballon Rouge, a acheté et financé
l'envoi de 20 CD audio de la conférence de François-Xavier
Verschave sur la Françafrique, à 20 radios locales africaines
(Mali, Côte d'Ivoire, Cameroun, ...).
Pour l'association SPID, Louis Zollet
ASSOCIATION SPID
LE VOLTAIRE
AVENUE ROGER SALENGRO
13400 AUBAGNE
TEL 04 42 03 48 61
spid@altermondialisation.org
Sommaire :
De qui se moque-t-il ?
Selon que vous serez puissant ou miserable
Vrais mensonges à propos de l'aide américaine à Israël
SPID : L'engagement audiovisuel aux côtés de celles et ceux qui luttent